Un évènement tant attendu passé sous silence...
Notre journal avait promis de couvrir un évènement exceptionnel et c'est ce qu'il fit, mais c'était sans compter sur un autre évènement fort ancien, mais que l'on commémore chaque année et qui prime sur tout, Noël. De sorte que ledit évènement fut quelque peu occulté.
Pourtant, oui pourtant comment oublier ? Souvenez-vous ! Dès le 12 décembre dernier, l'Artois connut un phénomène migratoire important. Des individus quittant Calais, seuls, en groupe, à pied ou en charrette, furent aperçus pendant plusieurs jours se dirigeant vers le sud-est. Que fuyaient-ils ? Rien, chers lecteurs, les habitants de Calais partaient joyeusement pour Arras afin d'assister à un évènement heureux et très attendu : le mariage de Vandusse et Melinda.
C'est en l'église Saint Vaast d'Arras qu'eut lieu la très émouvante cérémonie dirigée par le père Amadys DerTeufel, en présence de nombreux Calaisiens et Artésiens venus spécialement pour l'occasion. On vit se cotoyer paysans, artisans et nobles parmi lesquels, Nerevar, le Comte d'Artois en personne, et le comte de Vermandois, Pair de France, témoin et ami du marié. La très belle Mélinda étant, quant à elle, assistée de son amie, la charmante Emi, tisserande aimée et estimée de Calais.
Le père Amadys DerTeufel, curé d'Arras, recueillit le oui traditionnel et bénit le couple souriant. Oui, vous lisez bien, amis lecteurs (nos sources étant des plus sérieuses), Mélinda, belle et radieuse, et le valeureux Vandusse, souriaient. Elle, de toute son éclatante beauté, et lui, du plus niais sourire béat que l'on puisse imaginer d'un tel homme.
La cérémonie émut plus d'un participant jusqu'à la surprise finale réservée par le témoin du marié, qui offrit à l'heureux couple, en guise de cadeau d'épousailles, la seigneurie de Ham.
On n'eut à déplorer que quelques bévues typiquement calaisiennes sans lesquelles une fête calaisienne ne serait pas une fête calaisienne.
La cérémonie fut suivie d'un très beau bal dans le jardin avoisinant l'église, où musique, danses, mets savoureux et surtout boissons diverses et variées réjouirent l'assistance, sans oublier l'incontournable bataille de poissons.
Nos Calaisiens heureux d'avoir partagé un tel évènement rentrèrent à l'exception du marié qui, après être parti devant en laissant à la traîne sa jeune épouse, sembla vouloir finir le trajet à la nage. Mais là, on se perdit en conjectures et les rumeurs les plus folles commencèrent à courir.
Très tardivement, mais mieux vaut tard que jamais, la rédaction et toute l'équipe du Petit Calaisien présentent leurs voeux de bonheur à Melinda et Vandusse.
Marie Bigorneau pour le Petit Calaisien
Pourtant, oui pourtant comment oublier ? Souvenez-vous ! Dès le 12 décembre dernier, l'Artois connut un phénomène migratoire important. Des individus quittant Calais, seuls, en groupe, à pied ou en charrette, furent aperçus pendant plusieurs jours se dirigeant vers le sud-est. Que fuyaient-ils ? Rien, chers lecteurs, les habitants de Calais partaient joyeusement pour Arras afin d'assister à un évènement heureux et très attendu : le mariage de Vandusse et Melinda.
C'est en l'église Saint Vaast d'Arras qu'eut lieu la très émouvante cérémonie dirigée par le père Amadys DerTeufel, en présence de nombreux Calaisiens et Artésiens venus spécialement pour l'occasion. On vit se cotoyer paysans, artisans et nobles parmi lesquels, Nerevar, le Comte d'Artois en personne, et le comte de Vermandois, Pair de France, témoin et ami du marié. La très belle Mélinda étant, quant à elle, assistée de son amie, la charmante Emi, tisserande aimée et estimée de Calais.
Le père Amadys DerTeufel, curé d'Arras, recueillit le oui traditionnel et bénit le couple souriant. Oui, vous lisez bien, amis lecteurs (nos sources étant des plus sérieuses), Mélinda, belle et radieuse, et le valeureux Vandusse, souriaient. Elle, de toute son éclatante beauté, et lui, du plus niais sourire béat que l'on puisse imaginer d'un tel homme.
La cérémonie émut plus d'un participant jusqu'à la surprise finale réservée par le témoin du marié, qui offrit à l'heureux couple, en guise de cadeau d'épousailles, la seigneurie de Ham.
On n'eut à déplorer que quelques bévues typiquement calaisiennes sans lesquelles une fête calaisienne ne serait pas une fête calaisienne.
La cérémonie fut suivie d'un très beau bal dans le jardin avoisinant l'église, où musique, danses, mets savoureux et surtout boissons diverses et variées réjouirent l'assistance, sans oublier l'incontournable bataille de poissons.
Nos Calaisiens heureux d'avoir partagé un tel évènement rentrèrent à l'exception du marié qui, après être parti devant en laissant à la traîne sa jeune épouse, sembla vouloir finir le trajet à la nage. Mais là, on se perdit en conjectures et les rumeurs les plus folles commencèrent à courir.
Très tardivement, mais mieux vaut tard que jamais, la rédaction et toute l'équipe du Petit Calaisien présentent leurs voeux de bonheur à Melinda et Vandusse.
Marie Bigorneau pour le Petit Calaisien